Dans les objectifs "jeunesse", éducation nationale", "éducation populaire", "soutien aux personnes handicapées, agees ou dépendantes", "cohésion sociale", "egalite des territoires", favoriser les expérimentations dans le domaine de la médiation animale.
Voir aussi :institut français de zoothérapie http://www.institutfrancaisdezootherapie.com/
Après la Corrèze, la France et bientôt le monde découvrent l'intelligence politique de FH, l'intelligence tout court.
Le choix du gouvernement proposé par JM Ayrault est malin, intelligent, fin
Voici ce que j'en retiens :
Le signe fort vers l'égalité (droit des femmes, dialogue social, personnes âgées, handicapées, égalité des territoires, economie sociale et solidaire, la parité...)
Les femmes à des postes clefs, conformément aux promesses de campagne (justice, écologie, porte parole...)
La synthèse attendue entre l'agriculture et l'agroalimentaire pour un pôle économique fort
L'inscription de la croissance dans le gouvernement avec le ministère du redressement productif
De vrais experts au gouvernement, ça change!
Et comme c'est malin d'avoir confié à Cécile Duflot l'égalité des territoires
Bravo et merci
Les mêmes qui reprochaient à FH d'être un cumulard ne rêvant que de Paris semblent decouvrir son attachement à la Correze et le lui reproche, s'insurgeant de la nomination d'un conseiller aux affaires correziennes! Et si l'on reconnaissait plutôt que l'attachement à la Corrèze inspire la nomination d'un conseiller non pas seulement aux affaires corréziennes mais travaillant sur l'équilibre Paris/province en fluidifiant le contact avec les élus! Et si la fidélité du PR élu à ses compagnons de route n'était cette fois pas répréhensible? Et si le choix des conseillers se fondaient désormais sur les valeurs morales des hommes et leurs compétences techniques? Il faut dire que la probité des compagnons de route de François Hollande change des amitiés douteuses de son prédécesseur!
La mauvaise foi de certains sympathisants de l'UMP me laisse sans voix.
Les mêmes qui reprochent à FH de ne pas tenir ses promesses (le vilain FH ne bloque plus le prix de l'essence!.. Qui baisse!) lui reprochent de rester sincère et de ne pas s'abaisser à saluer l'action politique de Sarko!
Les mêmes qui lui reprochent les dépenses de ses voyages de campagne (qu'ils assimilent à des depenses de chef d'état -comme quoi ils ne doutaient pas de la victoire de FH!-), lui reprochent -sans preuve- d'avoir des amis ou une compagne riche qu'ils assimilent à la gauche caviar. Faut il quand on est de gauche avoir honte de gagner de l'argent si on l'a gagné honnetement et qu'on en fait bon usage? Faut-il avoir honte de participer au financement de la campagne d'un homme porteur de valeurs - sans doute auraient ils préféré un financement d'un autre kadhafi?
La pression médiatique est énorme et FH est attendu au tournant de cette semaine internationale.
La tâche est rude mais nous savons que notre Président, tel le roseau, saura plier si nécessaire, prendre le temps de jauger, mais ne rompra pas
Les phrases clefs de François Hollande qui ont rencontré mes valeurs et, je l'espère, celles des français, celles qui m'ont émue, celles qui m'ont parlé transmission, celles qui m'ont encouragée à croire que l'Histoire, la grande, était en marche
Cela depuis mes plus lointains souvenirs en politique, en Corrèze
Et l'espoir enfin, lors du discours d'investiture qui m'a prise aux tripes, de voir les français rejoindre les corréziens dans leur appréciation des qualités de l'homme et de sa capacite a gouverner la France
La confirmation, s'il en était besoin, lors du/des discours de Bercy : en effet, à Bercy, il a évoqué les valeurs qui me sont chères et appelé les français qui les partagent à se rassembler derrière lui. Du debut de la campagne à l'election, il a assumé son programme et n'a pas dévié de ses valeurs, il n'a pas cherché à se trouver de nouvelles valeurs selon les sondages d'opinion, mais il a cherché à convaincre les francais du bien fondé des siennes, c'est ainsi que l'homme d'Etat écrit une belle Histoire
Toutes mes valeurs y sont et je compte sur François Hollande pour que mes compatriotes les partagent! Merci aux français d'avoir choisi l'espoir!
Fraternite :
"J'aime les gens quand d'autres sont fascinés par l'argent"
Honnêteté intellectuelle :
"Je ne pouvais pas concevoir l'exercice de cette fonction, si je n'avais pas eu au préalable la confiance des électeurs. Et la confiance se gagne dans la durée."
Fidelite :
"Je ne me sépare pas de vous, je vais m’éloigner un peu et vous regarder toujours.Ne pensez pas que je vous abandonne. Jamais !
La situation peut être vécue comme un arrachement, mais aussi comme une élévation. Une page se tourne, mais on est dans le même livre.
Avec ce départ de Corrèze, une page se tourne, mais nous sommes dans le même livre."
Pourquoi j'apprécie l'homme François Hollande :
Parce que comme l'ecrit Laurent Joffrin dans le nouvel obs, il a une ambition souriante et une gentillesse d'acier
Parce que les corréziens connaissent depuis longtemps ses énormes qualités parmi lesquelles une grande intelligence et une rare ténacité, une cohérence et une fidélité
Pourquoi je me reconnais dans la politique menée par François Hollande :
Parce qu'il incarne les valeurs auxquelles je crois par un pouvoir à la fois ferme et proche
parce qu'il incarne la phrase de Kennedy : Ne vous demandez pas ce que la république peut faire pour vous mais ce que vous pouvez faire pour la république
La présence d’un fort taux de PME dans le secteur agroalimentaire français constitue un atout pour l’économie française et pour les consommateurs en ce qu’elle permet une adéquation aux besoins locaux, en même temps qu’elle favorise le développement économique local, l’aménagement du territoire et les échanges de proximité. C’est donc un facteur très positif du développement durable dans ses piliers environnemental, économique et social.
Pour ce qui concerne ce point, il est important de revivifier le réseau de correspondants français en représentation permanente à l’étranger, dans nos ambassades. A l’instar de ce qui peut être fait pour les offres de produits non-alimentaires, l’implantation des produits alimentaires à l’étranger doit être travaillée par nos RP. Rappelons-nous tout de même que le secteur alimentaire a créé un excédent de plus de 11 milliards d’euros en 2011, donc qu’il est légitime qu’il soit soutenu. De même il serait important d'associer à chacun des voyages officiels des représentants d’entreprises et de fédérations agroalimentaires, de renforcer la présence des pouvoirs publics et des entreprises dans les délégations au sein du Codex Alimentarius et autres instances internationales où l’avenir des exportations se décide (FAO,OMS, OMC par exemple).
Une autre piste est d'étudier les conditions dans lesquelles le risque parfois difficilement supportable par une PME peut être garanti. A ce sujet, la COFACE devrait être développée pour permettre un soutien CT des exportations, à des coûts non prohibitifs.
Il est important de faire évoluer la réglementation, de sorte que les produits alimentaires fabriqués en France avec pour unique débouché l’export ne soient pas contraints de respecter la réglementation française, en plus de la réglementation du pays destinataire. La charge des justificatifs incombera bien entendu à l’industriel mais il est surtout nécessaire de mettre en place un vaste réseau d’échange d’informations entre nos RP sur site à l’étranger et nos services en charge du contrôle en France. En résumé, pas de double peine, et laissons les entreprises s’adapter sur notre territoire aux exigences éventuellement différentes de certains pays tiers.
Pour les produits vendus à l’export, la valorisation de l’image de la France est bien évidemment importante. Pour ce qui concerne les moyens de cette promotion, plutôt qu’un logo sur l’origine, bien identifiée par ailleurs par le code douanier, je miserai préférentiellement sur un investissement des pouvoirs publics pour favoriser la participation de la France et des entreprises françaises aux salons et conférences internationaux.
Pour les produits vendus sur le territoire français, il n'est pas opportun de multiplier les effets d’annonce pour la création de nouveaux labels ou mentions d’étiquetage. Je l’ai dit, il est avant tout nécessaire d’aider le consommateur à prendre connaissance des mentions déjà imposées par la réglementation (dont celles qui permettent de connaître l’origine d’un produit) sans en ajouter de nouvelles.
Je considère qu’il n’est pas de la responsabilité de l’État, sans compter les contraintes que fait peser le droit européen de la concurrence, d’imposer ce type de démarches.
N’oublions pas que l’important ne réside pas uniquement dans l’origine des matières premières agricoles utilisées mais également et parfois bien plus dans la localisation française de la valeur ajoutée des aliments produits. C’est là aussi que réside notre richesse : dans le savoir-faire de notre industrie agro-alimentaire, et pas seulement dans une production nationale de matières premières agricoles.
Ce qui me paraît important est que le consommateur se voit offrir une alimentation à tous les prix, et que systématiquement le rapport qualité/prix optimal soit offert.
Il est également primordial que le consommateur dispose des informations idoines pour effectuer son choix, l’entrée en vigueur du règlement relatif à l’information du consommateur (Règlement (UE) 1169/2011) sera l’occasion de faire un état des lieux des pratiques et d’insuffler aux opérateurs de nouveaux réflexes, plus de transparence. Il est nécessaire de maintenir la pression exercée par les services de contrôle mais aussi de renforcer la mission éducative. Les enfants qui seront par ailleurs éduqués au goût seront également éduqués à la lecture des étiquetages et de la publicité. Il ne s’agit pas, là encore, de brider outre mesure une communication marketing, tout au moins pourra-t-on par certaines dispositions réglementaires éviter la surenchère ; le véritable changement prendra sa source dans l’éducation des consommateurs. Un consommateur éduqué à différencier les messages marketing des messages réglementaires exercera sur les annonceurs une force de pression de nature à assainir les messages diffusés.
L’indexation des prix des produits finis sur le cours des matières premières peut paraître séduisante.
Toutefois, je m’interroge sur la mise en œuvre d’une telle mesure d’encadrement des prix qui comporterait forcément une part d’arbitraire dans la gestion des coefficients multiplicateurs pour les produits complexes élaborés à partir de matières premières variées.
Je pense également que le consommateur de telles fluctuations rendraient le consommateur d’autant plus perplexe dans son acte d’achat.
Actuellement, il existe deux marchés de matières agricoles à terme au niveau européen et force est de constater qu’ils ne fonctionnent pas bien.
En revanche, il est primordial de mettre en œuvre des mesures visant à ce que le lissage des prix ne se fasse pas uniquement vers le haut et que la baisse des cours n’entraîne pas l’enrichissement d’un seul maillon de la chaîne aux détriments des autres et du consommateur. Il faudra s'appuyer sur l’observatoire des prix et des marges et il sertait utile de nommer une mission chargée d’analyser ces données pour faire des propositions législatives visant à amender la loi LME. Il est également primordial, par des critères plus stricts d’appréciation, de lutter contre la concentration de la distribution française.
Bien entendu, la TVA sur les produits alimentaires doit être maintenue à un taux réduit. Il s’agit de permettre l’accès à tous à une alimentation de qualité, au meilleur prix, le programme national de l’alimentation sera renforcé en ce sens.
